Voici une histoire que j'ai écrite.
J'espère que le genre vous plaira:
(Prenez la peine de tout lire ou ne lisez rien sinon vous perdrez du temps):
Pour poster des commentaires c'est:
iciChapitre 1 - FerdenUne légère brise parcourait la plaine d'Anole faisant onduler l'herbe et les feuilles des arbres dans une harmonie sans failles.
Un jeune garçon au cheveux châtain se tenait la, l'esprit perdu dans la beauté du paysage qu'il avait devant lui.
Il était debout, on distinguait dans ces yeux d'un bleu ciel intense des rêves.
Il rêvait de milliers de choses en même temps, il s'inventait un monde a lui, il en détenait la clef et pouvait y envoyer les autres celons
ces désirs.
Le paysage n'était pour lui que sensation, le vent l'effleurait, les feuilles roulait sur l'herbe et parfois saisissait un léger courant d'air qui les faisait planer. Il ne semblait pas malheureux ou en colère, ne semblait pas non plus heureux.
Il était la pour réfléchir et voler dans les univers qu'il se recréait lui même dans sa tête.
Vêtu d'une chemise ou de moins ce qui pouvait le plus ressembler a une chemise, sans boutons, sans cols mais qui malgré tout y ressemblait plus que quoi que ce soit d'autre.
Ainsi il était vêtu d'une "chemise" blanche et d'un "pull" qui ressemblait plus a un morceau de chiffons avec des trou qu'a un pull.
Ces jambes quand a elles, n'avait pas a ce plaindre car le pantalon de toile était plutôt confortable même si il était recousue a plusieurs endroit et n'avait pas souvent été lavée.
Ainsi était Ferden, un adolescent de 12 ans qui ne semblait avoir qu'une envie: s'évader!
Une femme approcha, sa chevelure blonde lui donnait même si elle n'était ni superbe, ni très jeune une grâce rare et dégageait d'elle une aura de respect.
Ces yeux d'un bleu ciel aussi intense que le garçon, fixait ce dernier.
Elle approcha sa bouche de son oreille et murmura:
-Ferden il faut rentrer, il va faire nuit dans peu de temps.
-Oui j'arrive, répondit il.
Puis le regard de Ferden ce détourna non sans regret de l'immensité de la plaine et il ne put que suivre sa mère vers son foyer, chaque pas l'éloignant encore plus de cet endroit qui lui inspirait tant de choses.
Ils habitait une maison a l'orée de la cité de Nad'Hamar une des principales du royaume d'Enhen.
Elle était plutôt en bon état ce qui était rare mais explicable car le défunt père de Ferden avait donner tout ces biens a sa mère 10 ans plus tôt.
Ferden dina dans une petite salle étroite qu'ils avait aménager sa mère et lui afin d'être plus proche.
Ils plaisantèrent sur divers sujet mêlant l'odeur des plats cuisinée a celle de la bonne humeur.
Le diner se déroula donc dans la joie et lorsque il fut vraiment fatigué sa mère l'envoya se coucher.
Il monta se coucha sans manquer d'embrasser sa mère et s'endormit aussitôt après, vaincu par la fatigue.
Il se réveilla au premières lueurs du jour, se prépara pour aller a se que l'on pouvait le plus appeler une école si l'on oubliait que ce n'était
pas obligatoire et que les enseignant n'avait pas tout a fait le même programme scolaire.
Le voyage fus comme tout les jours plutôt court et il arriva sans peine au lieu dit.
Il salua deux garçon qui était avec lui et se dirigea
vers une grande perche musclée entourer de filles.
Athan était très occupe a expliquer a ces filles qu'il trouvait d'une intelligence limitée et d'un physique très peu intéressant qu'il avait des choses a faire et qu'il devait y aller. Elles firent une mimique qui mélangeait de la haine et de l'obéissance puis partirent.
Avant d'être a nouveau en contact avec les gens sympa de l'établissement il vérifia que personne ne le regardait, marcha discrètement vers un des murs et passa derrière pour n'être vu de personne, glissa et se retrouva nez a nez avec un garçon châtain aux yeux bleu.
Ferden dévisagea Athan et lui sourit, ce dernier lui rendit son sourire.
Il lui dit bonjour et presque comme toujours l'interrogea:
<<-Alors Athan avec la quelles va tu conclure?
-Aucunes, trop stupide pour moi.
-Mais c'est sérieux au moins Athan?>>
Athan réfléchis un instant puis répondit:
<<-Tu vois Ferden tout est relatifs, pour elle c'est sérieux, pour moi non!
-Comme d'habitude quoi, conclus Ferden.
-Oui mais presque puisque cette fois je leur ai donner ton adresse.>>
Ferden pâlit, c'était le genre de blague qu'il détestait, les blagues qui l'exposait au grand jour et dévoilait son identité a un groupe qui le prendrait pour un pauvre type.
Il garda cepandant son sang froid et ne répondit pas.
Il pensait: "Calme...ce n'est...qu'une...blague...calme..."
Finalement il décrocha deux mots:
-tant pis.
Athan avait des yeux marron, des cheveux brun sombre et un corps musclée et puissant, plutôt grand naturellement, tout cela aurait été normal si il n'avait pas été aussi beau.
Effectivement il était d'une finesse de trait rare, un mélange si bien réussi
de grâce et de férocité ce dégageait de son visage. Evidement cela ne manquait pas de plaire au filles, a toutes les filles!
Il aurait été horrible qu'un garçon comme lui soit prétentieux et méchant mais son extrême bonté et sa modestie le mettait a l'écart de tout, tout sauf la jalousie.
Ainsi il y avait deux camps, ceux qui l'appréciait vraiment et ceux qu'il rendait malade de jalousie a chaque instant.
Il était habiller a ce que l'on aurait aujourd'hui qualifié de ringard mais qui ne représentait qu'une preuve de la richesse de ces parents!
Une veste de toile plutôt propre, un gilet de laine finement cousue et un pantalon noir.
Il avait aussi la chance d'avoir des chaussure de cuir, plutôt discrète elles était de bon gout et très confortable.
Ainsi les deux amis discutèrent jusque a l'heure du début des "enseignement" qui était des cours sur la base du volontariat!
Ils marchèrent dans l'enceinte de l'établissement qui les abritait. Les murs était d'un mélange de paille de rocs et d'argile, le sol était de terre et le toit en bois, c'était bien sur la plus chic école de toute la cite.
Plusieurs colonie de fourmis avait élu domicile dans les coins et seul les classes était entretenus.
Ils arrivèrent devant une intersection et Ferden, par inattention, rentra dans un enseignant.
Celui s'excusa, Ferden fit de même et il l'entraina en lui disant: "Suis moi
le chef veut te parler".
Athan se raidit, être envoyé chez le chef n'était pas souvent une bonne nouvelle. Plusieurs possibilités demeurait, Ferden aurait fait une énorme bourde et serait renvoyer ou il aurait utilise des armes lourdes dans l'enceinte de l'établissement, il restait encore la troisième solution et Athan priait pour que ce soit celle ci!
Berghen ricana:
<<-Ferden chez le chef qui l'aurait cru.
-C'est bizarre quand même... ajouta un des élèves.
-Non sa ne m'étonne pas il n'a surement plus d'argent pour payer l'établissement.>>
La tous rigolèrent!
Athan ne supporta pas mais garda son calme et évita de montrer son désaccord, c'était lâche mais Ferden savait qu'il devait faire comme ça pour avoir un minimum d'autres amis. Autant dire que Ferden n'était pas seulement ignorer il était haï par la plupart des "Gros Bras" et il avait la sale manie de les provoquer sans jamais passer la ligne qui les obligerait a le taper.
Ainsi personne ne pouvait vraiment lui parler sans être insulter par les caïds.
Ferden revint, une bourse en main.
Afin de dire a Athan ce qu'il c'était passer il déclara a toute la classe:
<<-Une bourse pour mes bonnes notes...>>
Tous tournèrent la tête et l'ignorèrent. Athan tourna la tête mais n'ignora pas et pensa "Bien joué Ferden!". Puis tout repris son cours, l'enseignant les invita a prendre leur cours du jour et Ferden choisit la magie.
Athan lui prit escrime. Ils se séparèrent donc, chacun de leur cote.
Le cours de magie commença, il y avait 7 élèves, Ferden ne s'était jamais vraiment trouver fort en magie il avait juste une attirance pour cette matière plutôt qu'une autre.
Aujourd'hui il passèrent a une nouvelle leçon intitulée "Accumulation".
L'enseignant commença:
<<- Comme vous le savez tous, il existe une phase avant la volonté elle même, cette phase s'appelle l'accumulation.
Elle consiste a réunir la volonté au bon point et a préparer un "terrain de sortie. Aujourd'hui je vais essayer de vous faire decouvrire cette phase!
-Monsieur on va faire la pratique aujourd'hui alors, demanda un des élèves.>>
L'enseignant sourit ces lunettes en demi lune renvoyait un regard d'approbation et il déclara:
"-Oui, aujourd'hui nous allons faire un cours pratique!"
Une suite de "OH" et de "AH" parcourrait la salle. Ferden était au comble du bonheur il songeait:
"Parfait on va enfin s'amuser!"
L'enseignant distribua des prospectus sur lesquels était écrit la façon d'arriver a se résultat. Ferden lut plusieurs fois,
comprit qu'il fallait se concentrer, sentir la volonté et la faire jaillir au point culminant en l'occurrence l'extrémité de sa
paume. Ainsi il fit ce qui était écrit. Le flux constant était la, Ferden le sentait mais ne parvenait pas a le toucher.
Il réfléchis: "Sentez la, elle viendra", ces mots parlaient d'eux même mais il ne parvenait pas a l'appliquer.
Il resta ainsi dans cette état une vingtaine de seconde et finalement il trouva celui qui convenait. L'énergie jaillit,
Ferden s'étonna même d'en sentir autant. Le flux était en fait de la volonté, une volonté si puissante
qu'elle avait prix une forme énergétique, la magie. Ainsi ce dernier provenait en grande partit du cerveau et un peu
de quelques organes qui en avait un peu en leur sein. Il n'obéissait qu'a l'être dont il était issue et était lie a se personnalité et
a son aptitude a la magie. Ainsi Ferden sentit le flux lui parcourir la colonne vertébrale, l'énergie s'accumulait et parvint
finalement sa paume. La ce fut bien moins spectaculaire que ce a quoi il s'attendait, une petite étincelle jaillit de sa main et se dissipa.
Toute la volonté était revenu a sa place.
Ferden fut juste déçu, il leva les yeux et regarda autour de lui. Tout le monde le fixait. Son esprit analysa rapidement les possibilités,
soit il avait fait une bourde soit quelque chose d'extraordinaire. Son enseignant balbutia:
<<-Ferden tu...tu a réussi...du premier coup...
-Eh ben j'ai suivi les instruction a la lettre et je...
-Et tu a réussi, termina l'enseignant.>>
Il le fixait de ces yeux gris mais on y discernait de la crainte et du respect. Jamais en trente ans de carrière cet enseignant n'avait vu un
élève réussir avant une semaine, alors du premier coup...
Il resta ainsi bouche bée quelques secondes et sortit en courant de la classe, criant "Chef venez voir!".
Ferden était la, déconcertée mais le vrai sentiment qu'il cachait était de la fierté. Il était terriblement fier de lui et heureux.
Il avait un talent il ne pouvait plus en douter!
Ainsi la journée se déroula et Ferden devint l'histoire du jour, pour son plus grand désespoir.
Il rentra exténuer car demain une journée spéciale allait commencer. Des gens allait pour le première fois le craindre
et le respecter. Ainsi après avoir diné et s'être lavé il monta et se coucha.
Il fit une nuit pleine de rêves étranges, il était avec sa mère dans une bulle d'air sous l'eau et il devait pour les sauver refaire le même
exploit que la veille mais il n'y parvenait pas. Puis le rêve s'en alla laissant place a un sommeil calme.
Mais avant de s'endormir il pensa, et il élabora un plan.
Les étoiles brillait desormais dans le ciel et même si personne ne le savait ici.
A des centaines de kilomètre a l'ouest, les "D" arrivait nombreux, terrifiant et plus déterminé que jamais!